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Participants : Hervé, Evelyne, Mario et Jack
Entre deux averses de pluie et de neige, on profite pour aller se mettre au chaud en allant dans la Baume du Mont, visite très courte mais assez sympathique grâce aux concrétions massives qui ornent la galerie.
Entrée
Une belle forme de galerie
Concrétions massives
Au terminus on trouve de très nombreux graffitis dont celle de Gustave, mais non authentifiée … si c'est la sienne, il aurait pu pendant qu'il y était nous faire un petit tableau !
Jack
La météo n'est pas vraiment idéale pour aller faire un tour dans la Grotte de l'Ubena, mais c'est assez court alors on (Evelyne, Mario, Hervé et Jack) se décide pour aller jeter un coup d'œil au terminus afin de voir si il y a de quoi faire une désob.
Le site est très joli avec son ruisseau qui s'écoule dans un lit moussu et avec sa falaise aux couches plissées dans tous les sens. Quant à l'entrée de la grotte, elle est vite repérée avec sa grille à l'entrée.
La dernière partie de l'accès
Entrée de la grotte
La remontée de quelques blocs mène dans une salle basse, puis on chemine ensuite à quatre pattes sur un sol caillouteux.
La salle d'entrée
Galerie vers l'entrée
Peu après, surprise : le sol descend jusqu'à une grosse gouille qui pourrait rapidement devenir un siphon et cet obstacle n'est pas indiqué sur la topo ni dans la description !
Après une petite hésitation, on se résigne à se mouiller et on rejoint ainsi un carrefour. A gauche, un boyau descendant mène à une étroiture où un bruit sourd permet de se faire une idée sur le débit du ruisseau sous-jacent.
Sur la droite, un court laminoir est suivi par une salle (le plus gros volume de la grotte) où c'est encore propre car ensuite ça devient très argileux. Après un boyau humide, la descente d'un talus glissant permet de se relever dans une galerie spacieuse où s'écoule le ruisseau.
Talus d'argile
Galerie terminale
Le terminus est alors rapidement rejoint. Là on se rend vite compte que nous ne sommes pas quatre , mais qu'un cinquième visiteur s'est joint à nous (?). C'est un gentil goupil que nous surprenons les yeux écarquillés avant qu'il ne détale en quatrième vitesse.
D'après l'inventaire le boyau supérieur est signalé comme rapidement colmaté mais depuis il y a eu visiblement des désobstructions car nous pouvons rejoindre une trémie d'environ 3m de hauteur.
Au sommet, un courant d'air est perceptible alors on commence à gratter en faisant gaffe que ça ne s'écroule pas, histoire de ne pas boucher le boyau d'accès et répéter une histoire qui s'est vue dans le passé !
La pluie étant annoncée et ne connaissant pas la vitesse de mise en charge dans cette grotte, on préfère ensuite faire demi-tour car il y a de la mousse de crue toute fraîche à 2m de hauteur sur les parois !
Mousse de crue : c'est pas bon signe pour s'éterniser ...
Après le nettoyage du mato dans le ruisseau extérieur, une petite marche à la nuit tombante permettra de nous réchauffer avant de rejoindre la voiture parquée un peu trop loin au goût de certains.
Jack
Après bien des hésitations à cause d'une météo vraiment très humide, on (Evelyne, Mario, Hervé, Vivien et Jack) se décide pour aller revoir la Grotte de la Combe des Planes.
L'orifice d'entrée étant rebouché, nous avons pris avec nous de quoi remédier au problème et cette désobstruction (ou plutôt re-désobstruction) a vite fait de nous réchauffer.
Si l'abri en forme de reculée est fortement motivant, la grotte l'est beaucoup moins car c'est un boyau assez peu confortable !
Au fond, un léger courant d'air filtre du minuscule trou dans le bouchon de glaise, mais bizarrement ce courant est intermittent ? Pas très chaud aujourd'hui vu le manque de place et l'humidité ambiante, nous décidons alors de remettre la suite des opérations à un autre jour.
Après une pause pique-nqiue, nous nous déplaçons ensuite vers le chemin des Plans pour aller voir un porche en pleine paroi dont l'accès le moins pénible consiste à descendre en rappel depuis le sommet des falaises mais encore faut-il trouver le bon endroit dans la forêt !
Pour cela, Evelyne, Mario et Jack se rendent en bas de la falaise afin de guider Hervé et Vivien qui effectueront la descente. Après quelques erreurs de positionnement (manque de repères), le porche est finalement atteint mais malheureusement ce n'est qu'un gros surplomb sans suite.
Cela fait quant même un point d'interrogation en moins et c'est à la tombée de la nuit qu'on peut enfin plier bagages sous une pluie battante.
Jack
Pour les deux GO du jour (Vivien et Jack) qui emmènent Laure, Anne-Cécile, Celia, Pierre, Mathieu et deux photographes de l'ECAL, la météo aurait pu être plus clémente, mais aujourd'hui c'est neige, pluie et froid. En plus la cavité initiale étant overbookée, on doit se rabattre à la dernière minute sur un autre but.
Un détour plus tard, on se retrouve ainsi dans la reculée du Nozon pour visiter d'abord la Grotte du Gros Fort où les deux photographes commencent leur séance de portraits, travail qui leur est imposé.
Grotte du Gros Fort
On se rend ensuite à la Grotte de la Pernon avec une petite pensée pour Jérôme et David qui sept jours auparavant ont été faire une désobstruction après le siphon mystérieux.
Aujourd'hui l'étiage est fini et c'est même la crue ce qui fait que nous ne pouvons pas aller bien loin.
Entrée de la Grotte de la Pernon : sympa c'est grand
Bon, après c'est moins grand et ça commence à être humide
De moins en moins confortable
Pause avant de ressortir
Bref, ce fut une après-midi bien mouillée mais qui a quand même pu faire découvrir un nouveau coin du Jura à toute l'équipe des nouveaux.
Pour nous rendre sur cette zone de la commune de Villeneuve, la montée est rude mais nous (Hervé et Jack) avons la chance d'avoir un temps estival, une vue superbe et nos amis les chamois pour compagnie.
Sur la crête de Montérel
Zone de lapiaz sur la partie sommitale
Plusieurs cavités déjà connues sont révisées. Nous repérons aussi quelques objectifs pour l'année prochaine car depuis nos premiers travaux il y a plus 25 ans, les névés ont aujourd'hui disparu.
Le MO11
La belle entrée du MO15
Jack
Encore et toujours à la recherche d'une troisième entrée au Réseau des Fées, cette année nous élargissons notre rayon d'action en espérant que cela pourrait être payant.
Et comme il a pas mal de temps libre, Hervé nous a trouvé deux nouvelles cavités que nous avons topographié (Hervé, Mario, Evelyne et Jack).
La première baume a vraiment une belle gueule avec sa vaste entrée mais malheureusement le fond est bien obstrué.
L'orifice de la deuxième baume est quant à lui nettement plus petit mais lors des travaux de débardage, les bûcherons ont fait un marquage vert fluo sur l'arbre à l'entrée ce qui a facilité son repérage.
Le premier puits (8m) est très joli.
A sa base une désobstruction a été faite par Hervé, Mario et Evelyne ce qui a permis de descendre un deuxième petit puits, plus étroit mais avec de belles coulées de calcite. La suite est en cours de désobstruction car il y a un léger courant d'air. A suivre ...
Jack
L'été indien se prolongeant, nous (Evelyne, Mario et Jack) consacrons deux journées à des travaux dans la région des Diablerets, cela en vue du futur inventaire. C'est l'occasion de revoir et de vérifier les informations de plusieurs cavités avec en prime de belles balades.
La belle entrée de la Grotte du Creux du Pillon
Mario et Evelyne au chalet des Prés Jordan : un repos bienvenu
Un nouveau porche qui nécessitera un accès aérien
La région d'Arpille et des Grenérets avec la Cape au Moine
Accès à la Grotte des Grenérets : c'est pas plat !!
Le bilan de ces deux jours sera vraiment positif mais il reste encore du boulot, alors à l'année prochaine.
Jack
Organisée par Vivien, cette après-midi d'initiation aux techniques verticales a permis de réunir une douzaine de personnes dont une bonne partie qu'on espère voir s'inscrire au club.
Souriez vous êtes filmé
Olivier
Inés préfère la remontée !
Maxime
A la tombée de la nuit, quelques personnes feront encore la grande descente depuis le sommet des falaises au dessus de la grotte, puis enfin une partie de l'équipe finira la soirée au restaurant.
Jack
En ce dimanche très automnal (brrrr...), Vivien, Olivier et Jack se décident pour faire une petite virée dans le Jura vaudois afin d'aller revoir deux cavités où il y aurait une suite éventuelle.
On va d'abord à la Baume Nuageuse où d'après la topo une suite pourrait se trouver sous des blocs.
Bien cachée la baume
On perdra un peu de temps pour rééquiper et rabouter deux cordes vu que le P11 fait maintenant 15-16m après la fonte d'un névé et le tassement de l'éboulis (hum, il faut pas se tromper en lisant le marquage des longueurs !) mais au fond aucune suite n'est entrevue.
Vivien en pleine action
On va ensuite à la Baume Ensoleillée où un gros amas de blocs, troncs et fil barbelé nécessite un rééquipement mais c'est pas de bol car l'accu de la perceuse rend l'âme. Il faudra donc qu'on revienne.
Jack
L'ami Hervé ayant découvert une nouvelle entrée lors d'une prospection en solitaire, une première sortie avec Evelyne et Mario avait pu confirmer que cette entrée avait une suite.
Le beau lapiaz de l'Urqui
Par cette belle journée d'automne l'objectif est donc tout trouvé pour Hervé, Marc et Jack. Après un ralentissement sur la route pour cause de désalpe, le trio peut enfin commencer la montée avec des sacs bien remplis (cordes, perceuse, amarrages, etc.).
A l'entrée de cette nouvelle cavité (U15) baptisée Gouffre de la Ruinette la traditionnelle pause pique-nique précède la préparation du matériel.
Oui, l'entrée du U15 est bien là
Et là mauvaise surprise ... on a bien prévu des goujons de 10mm mais on a oublié la clé pour ce type d'écrou !! ça commence bien ...
Et vu qu'on a pris la grosse perceuse, on a donc pas pris de matériel à spiter mais on a quand même des goujons de 8mm et la clé qui va avec, alors tout n'est pas perdu.
Marc commence à équiper
Après un premier P5, on équipe ensuite un joli P7 où les dimensions prennent de l'ampleur. A sa base, il nous faut nettoyer un palier d'éboulis, puis après avoir planté un nouveau goujon Marc entame la descente d'une pente très raide menant rapidement sur un nouveau puits, plus profond celui là et ayant une belle gueule.
Pour continuer il faut simplement l'équiper .. en principe ... car aujourdh'ui c'est vraiment la " loi de murphy " vu qu'on se rend vite compte qu'il nous reste des moustifs mais pas de goujons !?!?
Jack : bon y'a plus qu'à remonter
Décidément il y a des jours comme ça où on ferait mieux de rester à la maison ou en surface !
Et après avoir mesuré le puits, déséquipé et mis une partie du mato dans une cache, c'est ce qu'on a fait pour la fin de la journée en attendant une meilleure journée pour continuer cette explo !
Hervé ressort
Jack