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Participants : Stéphanie, Philippe et Gilles (plongeur)
Aujourd'hui tentative de plongée au puits de la Venoge. Le but est de tenté de renversé le caillou qui occupe le bas de l'étroiture.
Rendez- vous est pris pour 9h au tea- room où se retrouve une petite équipe sur- motivée. Une fois arrivé sur place, Stéphanie et Philippe équipent
l’entonnoir d'entrée et constatent que le puits est inondé. Il est clair que l'on ne vas pas faire des km de première ... Mais on s'est déplacé jusque là, ce sera l'occasion de faire un petite plongée d'entraînement.
Je fixe le fil sur les amarrages du puits et entame la descente. La visi est très correcte malgré les apports du ruisseau. Une fois sur la petite plage où on s'équipe d'habitude je remue un peu de vase, la galerie s'élargit bien, mais la tête de puits en dessus de moi n'est pas très large, elle. Je renonce à aller plus loin fixe le dévidoir et remonte prendre l'appareil photo.
Ensuite deuxième descente pour prendre quelques images et récupérer le dévidoir.
En remontant je croise un niphargus !
Gilles
Participants : Evelyne, Marc, Patrick, Eric, Valentin P., Gilles, Michaël et Eliza, Jack et Nicoleta avec son fils Raphael pour le pique-nique
Nous voilà de retour. A noter tout de même que cela fait dix ans que cette baume a été découverte et c'est la 35ème sortie.
Après les travaux d'élargissements effectués en octobre 2021, le passage au fond est maintenant assez large, mais à un poil près, pour le tonneau qui est tout beau, tout neuf (merci Marc !).
Retour du fond
Peut-être la relève avec Raphael
Bilan de cette journée : 13 tonneaux de déblais ressortis avec principalement de la caillasse, des gros blocs, mais beaucoup moins de boue que lors des sorties précédentes. Suite au prochain épisode ...
Participants : Evelyne, Marco et Jack
Prospection et révision de cavités sur la zone C sous une chaleur étouffante, mais il y a encore pas mal de névés dans les cavités.
Participants : Evelyne, Marco et Jack
Ballade autour du Chasseron et visite "en touriste" de quelques cavités.
Le Sommet du Chasseron
Grotte aux Amorilles : en fait c'est des armoiries gravées dans une paroi dont les plus anciennes datent du XVIe siècle.
Base P6
Armoiries
Grotte aux Sarrasins - Galerie d'entrée
Galerie du Fond
Fontaine de la Joux - Entrée au fond du canyon
Le fond avec une gouille
Participants : Maric, Alex et Jack
Retour dans cette cavité qui se développe dans un conglomérat quaternaire avec ciment de tuf (voir le post d'avril 2021), cette fois afin de désobstruer deux boyaux qu n'avaient pas été faits en 2021.
Le premier d'entre eux ne mesure que 5 m de long et se termine sur une fissure impénétrable.
Canidé momifié dans le premier boyau !
Quant au deuxième boyau, qui mesure environ 20 m de long, il ressort en surface juste à côté d'une conduite d'eau artificielle.
Après cette séance de désobstruction, on a été voir les falaises de gypse en rive gauche de l'Avançon d'Anzeinde où un porche est repéré, mais non atteint car les derniers mètres sont trop délités.
Plus en amont, un autre porche est repéré ... il faudra revenir avec une corde.
Participants : Federica, Anna, Vivien et Sébastien
Première sortie de l'année pour le Groupe Patrimoine Vaud (GPV) de la SSS à la Baume du Chalet du Couchant.
La neige encore trop importante sur la route des Begnines nous obligent à trouver un itinéraire par les Amburnex avec de ce fait une marche d'approche plus conséquente, mais pas de problème pour trouver le trou qui est bien visible dans le pâturage.
La cavité est alors rapidement équipée.
Une fois au fond du puits, c'est avec étonnement que l'on découvre que la cavité est à nouveau bien polluée avec des déchets divers et cela, malgré un important assainissement effectué en 2009 par l'ISSKA.
Les déchets sont alors ramassés et ressortis dans des kits ...
Au retour, ces déchets seront triés et acheminés dans une déchetterie.
Participants : Evelyne, Marco et Jack
Ballade dans les gorges de la Loue et visite "en touriste" de 4 cavités.
Grotte des Faux Monnayeurs
Baume Archée
Grotte du Tuyau de Poêle
Source du Pontet
Participants : Nicoleta, Gilles et Vivien
Le RDV est donné à la gare de Chavornay et c’est avec beaucoup de bonne humeur que nous partons vers la douane de Vallorbe, direction Pontarlier. Arrivés sur place, Vivien parque la voiture sous un beau soleil de printemps et Gilles part chercher l’entrée.
La grotte a deux entrées possibles et nous choisissions l’entrée par la perte et non pas par la Voie des Vaches (mal nous en a pris, entre nous soit dit).
Quelques minutes plus tard, Gilles revient. L’entrée est repérée. Plus qu’à se changer et nous partons pour 5 minutes de marche.
Commence un enchainement de puits assez étroits que Vivien et Gilles équipent. Comme la Voie de Vaches était brochée, nous avions fait la supposition que cela était le cas pour cette entrée aussi. Mais cela s’avère faux et nous nous rendons compte que nous n’avons pas assez d'amarrages pour aller jusqu’en bas, à la rivière. Snif -snif !
En découvrant cela, il nous restait environs 5 puits jusqu’en bas. Vivien décide de s’arrêter, pendant que Gilles et moi, nous faisons encore, pour le fun, les 2 puits suivants, pour lesquels nous avions encore les quelques amarrages nécessaires. Arrêt sur manque d'amarrages, nous rebroussons chemin et retrouvons Vivien quelques minutes plus tard.
Même si nous n’avons pas pu voir la belle rivière souterraine (ce sera pour une autre fois), ça a été une belle sortie, pendant laquelle nous avons eu beaucoup de plaisir et de beaux challenges du fait que la descente par cette voie se fait sur des puits assez étroits, ponctués de méandres franchement pas larges et bien enchevêtrés.
Nicoleta
Participants : Sabine, Eric
Quelques jours de vacances à Tulum et c’est l’occasion d’accompagner Sabine pour une petite exploration spéléo. En effet, elle a été contactée par un propriétaire de la région qui aimerait savoir si l’un des trous de sa propriété pourrait être l’accès à un éventuel cenote.
La première difficulté a été de trouver la propriété car sur la route on voit principalement la jungle de chaque côté sur de nombreux kilomètres.
Une fois arrivé, il a suffit de quelques dizaine de mètres pour arriver au trou. C’est surprenant de savoir qu’un aussi beau trou, bien régulier, et bien vertical n’ai jamais été exploré. C’est le genre de découverte qu’on aimerait bien faire en Suisse !
Comme je suis en vacances, je n’ai pas mon matériel de spéléo habituel ; et comme Sabine n’a pas encore reçu tout l’équipement spéléo qu’elle a commandé au Mexique, notre matériel est un peu limité, et l’installation d’une corde sans frottement a été plus long que prévu.
La descente le long d’une paroi, avec des arrêtes bien tranchantes, est un peu étroite pour être confortable sans combinaison spéléo.
Quelques 15 ou 17 mètres plus bas, on peut voir un petit couloir qui continue horizontalement, très large pour la grosse araignée qui se retrouve à 10 cm de mon nez, mais bien trop étroit pour une humain. C’est quand même une petite déception avec un aussi beau puits.
De retour à la surface, le propriétaire nous informe qu’il y a un autre trou encore plus prometteur 200m plus loin. 200 mètres dans la jungle, cela peut prendre un peu de temps, même s’il existe une sente. Le long de cette trace, il y a encore plein d’autres ouvertures dans le sol qui donnent envie de descendre à chaque fois !
Une fois la corde installée dans ce 2ème puits, c’est cette fois Sabine qui descend. Ce trou est un peu moins profond mais beaucoup plus large. Malheureusement il n’y a pas de suite non plus.
C’est plutôt excitant de se retrouver dans un environnement complètement calcaire, dans la jungle, où il y a tant à explorer !
Eric
Participants : Laure, Olivier, Luca et Gilles
Aujourd'hui, Laure, Olivier, Luca et mois sommes retournés à la Grotte du Roc. Le but cette fois est de remettre en place le système de vidange automatique de la voûte mouillante et peut- être tâter un peu le S1.
Préparatifs au parking
A l'entrée de la grotte
Départ dans les profondeur
Une fois arrivé sur place, muni d'un tuyau neuf , nous constatons avec surprise que le niveau de la voûte est environ 1 m plus bas que le mois dernier. Nous décidons de tout de même remettre le système en place en prévision des crues du printemps. Mais le remplissage du tuyau s'avère plus difficile que prévu. Après diverses tentatives infructueuses nous abandonnons.
Le S1 est néanmoins accessible et j'en profite pour une première immersion. Au départ la touille générée par mon matériel boueux dégrade la visibilité, puis la visi et la galerie s'ouvre pour atteindre de belles dimensions. Après quelques minutes je tombe sur d'anciens fils et décide de rebrousser chemin avant d'atteindre l'autre extrémité du siphon. Plongée 11 min, prof max 5.4 m (et pas 3 m comme sur la fiche d'équipement).
Le plongeur est de retour
Nous ressortons avant l'hypothermie non sans ressortir l'ancien tuyau (percé) et 2kg de plomb de lestage (afin de diminuer les risques de saturnisme des truites de la pisciculture).
Prochaines étapes : Remettre en place le système de vidange (en se munissant cette fois d'une pompe à main pour remplir le tuyau, puis rééquiper le S1 et explorer la galerie avant le S2.
Et puis, pas de Niphargus, j'avais pourtant pris la sauce pour un cocktail !!!
En tout cas cette sortie a permis de valider le matériel de plongée et de relever quelques points d'amélioration. Les cordes sont en place dans les deux puits internes et les amarrages rouillés ont été remplacés par des amarrages en inox.
Gilles
Photos : Laure