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Participants : Evelyne et Jack
Sortie dans la très connue Grotte aux Fées à la Côte aux Fées (NE) dont on trouve les premières mentions déjà au XVIIe siècle et qui est aussi appelée "Temple des Fées". Son accès et le couloir principal sont d'autres part aménagés pour des visites touristique, mais mieux vaut avoir le pied sûr.
Aujourd'hui, le but est de faire une série de photos, ainsi que de lever une nouvelle topographie au Disto X.
Dans la salle après l'entrée
Dans la galerie principale. Une chaîne est installée tout le long du cheminement principal, mais est- elle vraiment utile ?
Dans la première partie de la galerie ouest
Un court conduit annexe avec des petites colonnes
Le très joli tronçon de galerie menant au "Nid d'Aigle"
Le tronçon de galerie menant au "Nid d'Aigle" : on voit sur cette photo de belles cannelures qui entailles la paroi de droite
Le "Nid d'Aigle" : orifice se trouvant en pleine falaise où ici la chaîne est totalement justifiée. Mieux vaut éviter un faux pas ...
Vue du "Nid d'Aigle" dans la falaise
Finalement les photos et la topo (108 m) nous ont quand même pris 5h30 ... et maintenant il reste à faire le dessin.
Participants: Adrien, Anna, Baruch, Stéphanie, Syrielle
But de la sortie: descendre à -235m
Récit de Syrielle.
Un chemin bas déconseillé aux bas de caisse nous mène au parking, arrivée environ 10h10.
Altitude de départ 1455 m, quelques plaques de neige subsistent dans la forêt.
On retrouve Léo et deux compères du Spéléo Club de la Vallée de Joux, qui descendront après nous.
Toute la grotte est déjà équipée sauf les deux premières longueurs; l’entrée est fermée par une grille non verrouillée. Anna installe la corde tandis que Baruch nous fait un récap technique. On commence la descente vers 11h30, Anna et Adrien se relayent pour ouvrir la voie. L’eau cascade le long des parois, tout le monde est vite trempés jusqu’aux os, sauf moi dans ma combi PVC jaune canari. Les cordes fixes, fines et trempées, glissent beaucoup. On se retrouve Anna, Adrien et moi vers 13h en bas du dernier puit encadré de longues draperies. Un méandre s’enfonce plus profondément et enchaîne sur d’autres puits jusqu’à -390, mais on s’arrête là pour aujourd’hui.
À l’arrêt et trempés, le froid est saisissant. On réalise dépités que les sandwichs sont restés dans le sac laissé en bas du premier puit. On patiente en sortant le réchaud pour se faire une tisane.
On entend des voix raisonner au-dessus de nous, mais impossible d’estimer la distance; personne de nous rejoint. Finalement, Stéphanie et Baruch se sont arrêtés plus haut; les membres du SCVJ, qui les suivaient, sont descendus un peu plus bas, mais pas assez pour établir la communication avec nous.
Après un moment, on s’équipe pour remonter; Kway, capuche et gants épais. On commence la longue remontée un peu après 14h, je pars la première. La montée est solitaire; je m’éloigne rapidement de la lumière des lampes bien plus puissantes d’Anna et Adrien. Avec l’avancée de la journée, le fonte des neige empire; les parois des puits ruissellement et je me fais doucher en continu. Le froid disparaît rapidement avec l’effort; aiguillonnée par les “libre !” réguliers d’Anna en-dessous de moi, les longueurs s’enchaînent mécaniquement, j’essaie de ne pas déranger les petites chauve-souris qui volettent à mon approche.
Je suis accueillie par une petite pluie ironique à la sortie de la grotte. Elle se calme quand Anna pointe son nez hors du puit quelques minutes plus tard. Enfin vient Adrien, vers 16h30, tractant les sacs de cordes. On retrouve Baruch et Stéphanie et on va débriefer autour d’un chocolat chaud.
Notes pour plus tard: vérifier que les sandwichs sont dans le bon sac, rester suffisamment à portée de voix pour communiquer si l’équipe doit se scinder.
Participants : Olivier et Vivien
Visite de cette cavité du Doubs archi-classique, mais toujours sympa.
Participants : Evelyne, Marco et Jack
Ballade dans ces mines pour voir leur évolution (éboulements, pollution, etc.) depuis nos sorties de topographie en 1994.
Pour commencer, on va dans la mine no.2 :
Galerie G1
Vers le terminus de la galerie G1
Galerie G4
Galerie G4 : le treillis a souffert d'une chute de blocs depuis 1994
Galerie G4 : passage double
Galerie G7
Galerie G7 : zone au sol concrétionné
Galerie G5 : gour avec arrivée d'eau
Galerie G7 : mini-gours
Galerie G7 : éboulement ... mais qui était déjà là en 1994
On va voir ensuite l'entrée supérieure de la mine no.3, mais elle est quasi bouchée et il faudrait une désobstruction pour la ré-ouvrir. On se rend donc à l'entrée inférieure de cette mine no.3.
Galerie d'entrée inférieure de la mine no.3
Zone avec des étais ... mieux vaut ne rien toucher !
Partie terminale avant la base du puits de liaison avec la galerie supérieure
Finalement il y a pas eu de très grands changements depuis 1994 à part quelques petits éboulements ici et là. Il y avait toutefois beaucoup de ruisselements, donc une visite très humide qui ne donnait pas envie de pique-niquer (ce qui d'ailleurs serait une mauvaise idée dans ces galeries).
Photos : Jack
Participants : Anne-Cécile, Stéphanie, Laure, Nicoleta, Gilles et Eric
Descente par les Follatons et visite de la Galerie des Epées, puis en voulant aller à la Galerie des Errants, on se trompe en ne voyant pas le balisage et on se fait un bon bout du Méandre Pinpin aval ... bien glissant et pas top !! Finalement, on retrouve le bon chemin pour rejoindre la Galerie des Errants, puis après quoi il n'y a plus qu'à remonter pour clore cette visite bien sympa.
Dans la Baume des Follatons
Galerie des Epées
Un dernier passage à plat ventre pour sortir des Follatons
Une équipe majoritairement féminine
Photos : Nicoleta
Participants : Evelyne, Marc et Jack
Cela faisait un bout de temps (2021) que nous n'étions pas revenu sur cette désobstruction et nous profitons de ce début d'hiver exceptionnel (pas de neige jusqu'à 1600 m) pour y faire un saut.
En début de matinée, nous allons d'abord voir un petit trou récemment découvert où avec surprise il y a une continuation visible, mais il faudra agrandir une fissure. Nous nous déplaçons ensuite au Petit-Pré pour aller à la Baume de l'Oubli.
Le but est est d'enfiler une caméra-endoscope dans la fissure terminale, mais pour commencer, il faut évacuer les déblais de la précédente désobstruction.
Après quoi, on se rend compte qu'une lame de rocher s'est détachée de la paroi et qu'elle obstrue en grande partie la fissure terminale, laissant très peu de place pour faire passer la caméra.
Après avoir fixé la caméra sur une perche en y ajoutant une petite lampe puissante, on peut alors tester notre système, mais après avoir poussé la perche sur 2-3 m, tout se coince !!
Préparation de la perche avec la caméra
Détail de la caméra avec la lampe supplémentaire
Il ne reste plus qu'à aller mettre la perche au terminus et Marc préfère rester en sous-combi car en ressortant les déblais, il a trop transpiré avec sa PVC
Il faudra un bon moment et pas mal de jurons pour enfin ressortir cette perche (et surtout la caméra qui n'est pas bon marché !), mais les images ne seront malheureusement pas exploitables, car la caméra n'a pas pu être mise dans une bonne position. On voit juste que la fissure s'élargit, mais pas de puits (il y a pourtant de l'écho).
Evelyne ressort la perche
Une vidéo pas top du tout
Il ne reste plus qu'à ranger le matériel
On finira la journée en effectuant de nouveaux relevés GPS pour une bonne partie des différentes cavités de cette zone du Petit-Pré et cette fois la précision se révèlera impeccable.
Le Petit-Pré au coucher de soleil et sans un pet de neige en janvier
PS : on n'est pas découragé pour autant et il ne reste plus qu'à poursuivre cette désobstruction
Participants : Stéphanie, Philippe et Gilles (plongeur)
Aujourd'hui tentative de plongée au puits de la Venoge. Le but est de tenté de renversé le caillou qui occupe le bas de l'étroiture.
Rendez- vous est pris pour 9h au tea- room où se retrouve une petite équipe sur- motivée. Une fois arrivé sur place, Stéphanie et Philippe équipent
l’entonnoir d'entrée et constatent que le puits est inondé. Il est clair que l'on ne vas pas faire des km de première ... Mais on s'est déplacé jusque là, ce sera l'occasion de faire un petite plongée d'entraînement.
Je fixe le fil sur les amarrages du puits et entame la descente. La visi est très correcte malgré les apports du ruisseau. Une fois sur la petite plage où on s'équipe d'habitude je remue un peu de vase, la galerie s'élargit bien, mais la tête de puits en dessus de moi n'est pas très large, elle. Je renonce à aller plus loin fixe le dévidoir et remonte prendre l'appareil photo.
Ensuite deuxième descente pour prendre quelques images et récupérer le dévidoir.
En remontant je croise un niphargus !
Gilles
Participants : Evelyne, Marc, Patrick, Eric, Valentin P., Gilles, Michaël et Eliza, Jack et Nicoleta avec son fils Raphael pour le pique-nique
Nous voilà de retour. A noter tout de même que cela fait dix ans que cette baume a été découverte et c'est la 35ème sortie.
Après les travaux d'élargissements effectués en octobre 2021, le passage au fond est maintenant assez large, mais à un poil près, pour le tonneau qui est tout beau, tout neuf (merci Marc !).
Retour du fond
Peut-être la relève avec Raphael
Bilan de cette journée : 13 tonneaux de déblais ressortis avec principalement de la caillasse, des gros blocs, mais beaucoup moins de boue que lors des sorties précédentes. Suite au prochain épisode ...
Participants : Evelyne, Marco et Jack
Prospection et révision de cavités sur la zone C sous une chaleur étouffante, mais il y a encore pas mal de névés dans les cavités.
Participants : Evelyne, Marco et Jack
Ballade autour du Chasseron et visite "en touriste" de quelques cavités.
Le Sommet du Chasseron
Grotte aux Amorilles : en fait c'est des armoiries gravées dans une paroi dont les plus anciennes datent du XVIe siècle.
Base P6
Armoiries
Grotte aux Sarrasins - Galerie d'entrée
Galerie du Fond
Fontaine de la Joux - Entrée au fond du canyon
Le fond avec une gouille