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Participants : Evelyne, Marco et Jack
Ballade dans les gorges de la Loue et visite "en touriste" de 4 cavités.
Grotte des Faux Monnayeurs
Baume Archée
Grotte du Tuyau de Poêle
Source du Pontet
Participants : Nicoleta, Gilles et Vivien
Le RDV est donné à la gare de Chavornay et c’est avec beaucoup de bonne humeur que nous partons vers la douane de Vallorbe, direction Pontarlier. Arrivés sur place, Vivien parque la voiture sous un beau soleil de printemps et Gilles part chercher l’entrée.
La grotte a deux entrées possibles et nous choisissions l’entrée par la perte et non pas par la Voie des Vaches (mal nous en a pris, entre nous soit dit).
Quelques minutes plus tard, Gilles revient. L’entrée est repérée. Plus qu’à se changer et nous partons pour 5 minutes de marche.
Commence un enchainement de puits assez étroits que Vivien et Gilles équipent. Comme la Voie de Vaches était brochée, nous avions fait la supposition que cela était le cas pour cette entrée aussi. Mais cela s’avère faux et nous nous rendons compte que nous n’avons pas assez d'amarrages pour aller jusqu’en bas, à la rivière. Snif -snif !
En découvrant cela, il nous restait environs 5 puits jusqu’en bas. Vivien décide de s’arrêter, pendant que Gilles et moi, nous faisons encore, pour le fun, les 2 puits suivants, pour lesquels nous avions encore les quelques amarrages nécessaires. Arrêt sur manque d'amarrages, nous rebroussons chemin et retrouvons Vivien quelques minutes plus tard.
Même si nous n’avons pas pu voir la belle rivière souterraine (ce sera pour une autre fois), ça a été une belle sortie, pendant laquelle nous avons eu beaucoup de plaisir et de beaux challenges du fait que la descente par cette voie se fait sur des puits assez étroits, ponctués de méandres franchement pas larges et bien enchevêtrés.
Nicoleta
Participants : Sabine, Eric
Quelques jours de vacances à Tulum et c’est l’occasion d’accompagner Sabine pour une petite exploration spéléo. En effet, elle a été contactée par un propriétaire de la région qui aimerait savoir si l’un des trous de sa propriété pourrait être l’accès à un éventuel cenote.
La première difficulté a été de trouver la propriété car sur la route on voit principalement la jungle de chaque côté sur de nombreux kilomètres.
Une fois arrivé, il a suffit de quelques dizaine de mètres pour arriver au trou. C’est surprenant de savoir qu’un aussi beau trou, bien régulier, et bien vertical n’ai jamais été exploré. C’est le genre de découverte qu’on aimerait bien faire en Suisse !
Comme je suis en vacances, je n’ai pas mon matériel de spéléo habituel ; et comme Sabine n’a pas encore reçu tout l’équipement spéléo qu’elle a commandé au Mexique, notre matériel est un peu limité, et l’installation d’une corde sans frottement a été plus long que prévu.
La descente le long d’une paroi, avec des arrêtes bien tranchantes, est un peu étroite pour être confortable sans combinaison spéléo.
Quelques 15 ou 17 mètres plus bas, on peut voir un petit couloir qui continue horizontalement, très large pour la grosse araignée qui se retrouve à 10 cm de mon nez, mais bien trop étroit pour une humain. C’est quand même une petite déception avec un aussi beau puits.
De retour à la surface, le propriétaire nous informe qu’il y a un autre trou encore plus prometteur 200m plus loin. 200 mètres dans la jungle, cela peut prendre un peu de temps, même s’il existe une sente. Le long de cette trace, il y a encore plein d’autres ouvertures dans le sol qui donnent envie de descendre à chaque fois !
Une fois la corde installée dans ce 2ème puits, c’est cette fois Sabine qui descend. Ce trou est un peu moins profond mais beaucoup plus large. Malheureusement il n’y a pas de suite non plus.
C’est plutôt excitant de se retrouver dans un environnement complètement calcaire, dans la jungle, où il y a tant à explorer !
Eric
Participants : Laure, Olivier, Luca et Gilles
Aujourd'hui, Laure, Olivier, Luca et mois sommes retournés à la Grotte du Roc. Le but cette fois est de remettre en place le système de vidange automatique de la voûte mouillante et peut- être tâter un peu le S1.
Préparatifs au parking
A l'entrée de la grotte
Départ dans les profondeur
Une fois arrivé sur place, muni d'un tuyau neuf , nous constatons avec surprise que le niveau de la voûte est environ 1 m plus bas que le mois dernier. Nous décidons de tout de même remettre le système en place en prévision des crues du printemps. Mais le remplissage du tuyau s'avère plus difficile que prévu. Après diverses tentatives infructueuses nous abandonnons.
Le S1 est néanmoins accessible et j'en profite pour une première immersion. Au départ la touille générée par mon matériel boueux dégrade la visibilité, puis la visi et la galerie s'ouvre pour atteindre de belles dimensions. Après quelques minutes je tombe sur d'anciens fils et décide de rebrousser chemin avant d'atteindre l'autre extrémité du siphon. Plongée 11 min, prof max 5.4 m (et pas 3 m comme sur la fiche d'équipement).
Le plongeur est de retour
Nous ressortons avant l'hypothermie non sans ressortir l'ancien tuyau (percé) et 2kg de plomb de lestage (afin de diminuer les risques de saturnisme des truites de la pisciculture).
Prochaines étapes : Remettre en place le système de vidange (en se munissant cette fois d'une pompe à main pour remplir le tuyau, puis rééquiper le S1 et explorer la galerie avant le S2.
Et puis, pas de Niphargus, j'avais pourtant pris la sauce pour un cocktail !!!
En tout cas cette sortie a permis de valider le matériel de plongée et de relever quelques points d'amélioration. Les cordes sont en place dans les deux puits internes et les amarrages rouillés ont été remplacés par des amarrages en inox.
Gilles
Photos : Laure
Participant : Patrick
Après une journée de ski aux Diablerets, passage à la Grotte de Truchaud car elle figure sur la liste des cavités du Groupe Patrimoine Vaud (GPV) où il faut contrôler si elle est toujours propre après sa dépollution en 2002.
L'entrée, protégée par un grillage, est facilement trouvée.
La visite permet de se rendre compte qu'il n'y a que quelques très rares déchets (qui sont ressortis) et sinon la visite est assez agréable, sauf vers le fond où la faille est tapissée de mondmilch.
En ressortant, le coucher de soleil sur le massif enneigé des Diablerets était vraiment magnifique.
Comme il n'existe qu'un croquis de cette grotte, une sortie topo est prévue pour une de ces prochaines fois.
Participants : Evelyne, Marco et Jack
De septembre au début du mois de novembre, plusieurs sorties ont été effectuées dans le Jura vaudois afin d'aller voir une quinzaine de cavités pour en contrôler les coordonnées avec un GPS.
Certaines n'étaient pas bien grandes
Mais d'autres étaient plus sympa ...
A ce jour, et avec les contrôles fait par Paul (SCVJ), les coordonnées d'un très grand nombre de cavités ont été corrigées.
Participants : Vivien, Olivier et Cédric
Le but de la sortie aujourd'hui est d'aller faire un contrôle de la pollution dans cette Baume Est du Croue (dépolluée vers 2002), ceci dans le cadre de la convention entre le Groupe Patrimoine Vaud (GPV), la DGE et l'ISSKA. C'est aussi l'occasion de faire une initiation aux techniques verticales pour Cédric, nouveau venu au club, mais qui a déjà de bonnes bases en grimpe.
Fort heureusement, et malgré la proximité d'un chalet, cette baume est toujours propre (on a trouvé qu'une bouteille dans le puits).
Après quoi, nous avons décidé d'aller faire une visite des grandes salles de la Grotte-Gouffre des Chanceux, mais ... on a pas été chanceux ! En effet,le boyau pentu (désobstrué en 1986) à la base du puits d'entrée est à nouveau colmaté par un effondrement ce qui ne permet plus d'accéder à la première salle. Après une heure de désobstruction la tête en bas, nous n'avons pas réussi à dégager le passage.
Participants : Dimitri. Lionel et Gilles
Dimitri, Lionel et moi sommes allé faire un petite visite de la Grotte du Roc. L'accès ne pose pas de problème. Il y a au pied du mur, 2 m avant le panneau 18.8 km deux amarrages 10mm pour installer le rappel, un 3ème amarrage permet de mettre en place une main courante. Une corde de 55 m suffit pour le rappel, 5 m de plus pour la main courante. La descente se fait dans une pente raide mais pas verticale.
L'entrée est un vaste abri sous roche, au fond duquel part le "Toboggan", une galerie inclinée et fort glissante qui se prolonge, après un brusque virage à gauche, par le "Puits du Renard". Deux amarrages 8mm au fond de l'entrée permettent de mettre en place une corde pour sécuriser le "Toboggan". Il y a un risque réel, en cas de chute, d'enchaîner "Toboggan" et "Puits du Renard". Au sommet du "Puits du Renard" se trouvent deux amarrages de 8mm. Pour le "Toboggan" et le "Puits du Renard", compter une corde de 40m (à vérifier).
Le Toboggan
Puits du Renard
Une galerie déclive et basse mène ensuite au "Puits du Flash". Au sommet duquel se trouve deux amarrages (1x8mm et 1x10mm, à vérifier) rouillés mais qui paraissent encore robustes (à changer éventuellement). Une corde de 20 m suffit à équiper le "Puits du Flash".
Puits du Flash
On arrive ensuite dans une galerie horizontale au fond occupé par un gour. Cette brève galerie mène ensuite à une rampe terminée par une voute mouillante qui actuellement siphonne, marquant ainsi la fin de notre visite.
Galerie avec gours
Voûte mouillante
Le système d'auto.vidange de la voûte mouillante mis en place au début des années 2000 est actuellement inopérant. A ce propos, on trouve dans le gour une bonne longueur de tuyau d'arrosage à l'usage incertain. On peut faire l'hypothèse qu'il s'agit là de ce système, maintenant démonté, ou de matériel descend pour le remettre en place.
Après un accès raisonnablement compliqué, en raison du rappel nécessaire, la visite de pose pas de difficultés particulières. A noter qu'Il y a de jolies coulées stalagmitiques.
Texte et photos : Gilles
PS : Il y aura certainement une autre visite, cette fois pour plonger la voûte mouillante et éventuellement le S1 afin d'aller voir le fameux S2 qui fait environ 50 m de profondeur et qui avait été plongé en 1989 par Jacques Brasey (dit Tom Pouce) du SCPF.
Participants : Marc, Claude-Alain D., Pierre et Patrick
Après 2 ans de tergiversations, nous voilà de retour pour reprendre les travaux afin d'agrandir le terminus pour que le tonneau puisse passer. Nous profitons aussi de l'occasion pour enlever la grande lame qui gênait la remontée du tonneau.
Après une bonne journée de travail, hélas sans être certain du résultats, nous avons plié bagage en espérant que la suite sera accessible.
Rendez-vous au prochain épisode ...
Participants : Corinne, Evelyne, Nicoleta, Raphael, Ana, Françoise, Marc, Barbara, Claude-Alain, Eric, Philippe, Oliver, Vivien et Gilles
Ces quelques jours en Ardèche pendant la période du jeûne fédéral est une des activités qui avait été prévue pour les 70 ans du club, mais avec une année de retard à cause des restrictions sanitaires (covid-19) qui frappent encore tout le monde.
Vivien nous a trouvé un gîte magnifique rien que pour nous dans le superbe Mas de Rivet et ses sympathiques gérants.
Pas besoin d'aller au restaurant ... tout était prévu
La première visite spéléo fut dans L'Event de Peyrejal, mais ce jour là il y avait vraiment beaucoup de CO2 et l'équipe a été bien gazée ... résultats : des maux de tête pas possible toute la soirée.
Une autre visite a été faite dans la Grotte du Déroc. Celle-ci étant très facile, tout le monde était présent et même Raphael a pu accompagner sa maman. Le seul soucis a été l'accès car il y avait des chasseurs et ... des sangliers qui fuyait en passant près des spéléos !!!
Nous avons aussi été à la Fontaine de Champclos dont la visite est toujours aussi sympa et le dôme du Mont Blanc toujours aussi beau.
Il y a eu encore d'autres activités (Goule de Sauvas, Orgnac touristique, fac similé de la Grotte Chauvet, marche, canoé sur le Chassezac, , etc.). Le seul point noir de ce séjour est que la voiture de Vivien a rendu l'âme et qu'il a dû la faire rapatrier avant de l'envoyer à la casse.