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Participant : Patrick
Après une journée de ski aux Diablerets, passage à la Grotte de Truchaud car elle figure sur la liste des cavités du Groupe Patrimoine Vaud (GPV) où il faut contrôler si elle est toujours propre après sa dépollution en 2002.
L'entrée, protégée par un grillage, est facilement trouvée.
La visite permet de se rendre compte qu'il n'y a que quelques très rares déchets (qui sont ressortis) et sinon la visite est assez agréable, sauf vers le fond où la faille est tapissée de mondmilch.
En ressortant, le coucher de soleil sur le massif enneigé des Diablerets était vraiment magnifique.
Comme il n'existe qu'un croquis de cette grotte, une sortie topo est prévue pour une de ces prochaines fois.
Participants : Evelyne, Marco et Jack
De septembre au début du mois de novembre, plusieurs sorties ont été effectuées dans le Jura vaudois afin d'aller voir une quinzaine de cavités pour en contrôler les coordonnées avec un GPS.
Certaines n'étaient pas bien grandes
Mais d'autres étaient plus sympa ...
A ce jour, et avec les contrôles fait par Paul (SCVJ), les coordonnées d'un très grand nombre de cavités ont été corrigées.
Participants : Vivien, Olivier et Cédric
Le but de la sortie aujourd'hui est d'aller faire un contrôle de la pollution dans cette Baume Est du Croue (dépolluée vers 2002), ceci dans le cadre de la convention entre le Groupe Patrimoine Vaud (GPV), la DGE et l'ISSKA. C'est aussi l'occasion de faire une initiation aux techniques verticales pour Cédric, nouveau venu au club, mais qui a déjà de bonnes bases en grimpe.
Fort heureusement, et malgré la proximité d'un chalet, cette baume est toujours propre (on a trouvé qu'une bouteille dans le puits).
Après quoi, nous avons décidé d'aller faire une visite des grandes salles de la Grotte-Gouffre des Chanceux, mais ... on a pas été chanceux ! En effet,le boyau pentu (désobstrué en 1986) à la base du puits d'entrée est à nouveau colmaté par un effondrement ce qui ne permet plus d'accéder à la première salle. Après une heure de désobstruction la tête en bas, nous n'avons pas réussi à dégager le passage.
Participants : Dimitri. Lionel et Gilles
Dimitri, Lionel et moi sommes allé faire un petite visite de la Grotte du Roc. L'accès ne pose pas de problème. Il y a au pied du mur, 2 m avant le panneau 18.8 km deux amarrages 10mm pour installer le rappel, un 3ème amarrage permet de mettre en place une main courante. Une corde de 55 m suffit pour le rappel, 5 m de plus pour la main courante. La descente se fait dans une pente raide mais pas verticale.
L'entrée est un vaste abri sous roche, au fond duquel part le "Toboggan", une galerie inclinée et fort glissante qui se prolonge, après un brusque virage à gauche, par le "Puits du Renard". Deux amarrages 8mm au fond de l'entrée permettent de mettre en place une corde pour sécuriser le "Toboggan". Il y a un risque réel, en cas de chute, d'enchaîner "Toboggan" et "Puits du Renard". Au sommet du "Puits du Renard" se trouvent deux amarrages de 8mm. Pour le "Toboggan" et le "Puits du Renard", compter une corde de 40m (à vérifier).
Le Toboggan
Puits du Renard
Une galerie déclive et basse mène ensuite au "Puits du Flash". Au sommet duquel se trouve deux amarrages (1x8mm et 1x10mm, à vérifier) rouillés mais qui paraissent encore robustes (à changer éventuellement). Une corde de 20 m suffit à équiper le "Puits du Flash".
Puits du Flash
On arrive ensuite dans une galerie horizontale au fond occupé par un gour. Cette brève galerie mène ensuite à une rampe terminée par une voute mouillante qui actuellement siphonne, marquant ainsi la fin de notre visite.
Galerie avec gours
Voûte mouillante
Le système d'auto.vidange de la voûte mouillante mis en place au début des années 2000 est actuellement inopérant. A ce propos, on trouve dans le gour une bonne longueur de tuyau d'arrosage à l'usage incertain. On peut faire l'hypothèse qu'il s'agit là de ce système, maintenant démonté, ou de matériel descend pour le remettre en place.
Après un accès raisonnablement compliqué, en raison du rappel nécessaire, la visite de pose pas de difficultés particulières. A noter qu'Il y a de jolies coulées stalagmitiques.
Texte et photos : Gilles
PS : Il y aura certainement une autre visite, cette fois pour plonger la voûte mouillante et éventuellement le S1 afin d'aller voir le fameux S2 qui fait environ 50 m de profondeur et qui avait été plongé en 1989 par Jacques Brasey (dit Tom Pouce) du SCPF.
Participants : Marc, Claude-Alain D., Pierre et Patrick
Après 2 ans de tergiversations, nous voilà de retour pour reprendre les travaux afin d'agrandir le terminus pour que le tonneau puisse passer. Nous profitons aussi de l'occasion pour enlever la grande lame qui gênait la remontée du tonneau.
Après une bonne journée de travail, hélas sans être certain du résultats, nous avons plié bagage en espérant que la suite sera accessible.
Rendez-vous au prochain épisode ...
Participants : Corinne, Evelyne, Nicoleta, Raphael, Ana, Françoise, Marc, Barbara, Claude-Alain, Eric, Philippe, Oliver, Vivien et Gilles
Ces quelques jours en Ardèche pendant la période du jeûne fédéral est une des activités qui avait été prévue pour les 70 ans du club, mais avec une année de retard à cause des restrictions sanitaires (covid-19) qui frappent encore tout le monde.
Vivien nous a trouvé un gîte magnifique rien que pour nous dans le superbe Mas de Rivet et ses sympathiques gérants.
Pas besoin d'aller au restaurant ... tout était prévu
La première visite spéléo fut dans L'Event de Peyrejal, mais ce jour là il y avait vraiment beaucoup de CO2 et l'équipe a été bien gazée ... résultats : des maux de tête pas possible toute la soirée.
Une autre visite a été faite dans la Grotte du Déroc. Celle-ci étant très facile, tout le monde était présent et même Raphael a pu accompagner sa maman. Le seul soucis a été l'accès car il y avait des chasseurs et ... des sangliers qui fuyait en passant près des spéléos !!!
Nous avons aussi été à la Fontaine de Champclos dont la visite est toujours aussi sympa et le dôme du Mont Blanc toujours aussi beau.
Il y a eu encore d'autres activités (Goule de Sauvas, Orgnac touristique, fac similé de la Grotte Chauvet, marche, canoé sur le Chassezac, , etc.). Le seul point noir de ce séjour est que la voiture de Vivien a rendu l'âme et qu'il a dû la faire rapatrier avant de l'envoyer à la casse.
Participants : Maureen, Patrick et Pierre
Pour ce beau week-end du Jeûne, nous avons décidé d'aller revoir ce canyon que nous avions exploré et équipé dans les années 1980. C'était aussi l'occasion d'initier Maureen aux grands canyons.
Après la pénible montée (1h40), nous sommes enfin les pieds dans l'eau et c'est parti pour la descente. Les cascades s'enchaînent avec des hauteurs qui vont en crescendo et nous constatons que les équipements ont été complètement refaits avec des anneaux scellés.
On a toujours autant de plaisir dans ce canyon et après un passage aérien sur des traverses métalliques qui surplombe la dernière cascade (qui ne se descend plus) on arrive à la voiture après 5h30 de descente.
Participant : Jack
Montée dans le brouillard et, suite aux grosses intempéries de ces derniers jours qui ont fait déborder rivières et lacs, le terrain est boueux à souhait ainsi que défoncé par les passages répétés des génisses.
En arrivant sur la zone de Vudèche, le brouillard se dissipe de temps en temps mais c'est pas encore le top. Je parcours de long en large cette zone composée de quelques lapiaz et surtout de blocs calcaires, mais rien de neuf n'est trouvé. L'espoir de trouver une autre cavité comme le VU2 ou Grotte de l'Encensoir (> -100m) s'amenuise.
Mais l'entrée la plus belle reste celle de la Grotte de Vudèche (VU1) avec sa forme typique en trou de serrure dont le joint, comme le surcreusement, mesure 4 m. On ne s'en lasse pas ...
Le retour se fera comme à l'aller ... dans le brouillard !
Participants : Jack
Après plusieurs jours (semaines !) de pluies et d'orages, je profite de cette journée ensoleillée, mais frisquette, pour aller chercher un trou intéressant qu'on avait repéré il y a 2-3 ans avec Evelyne.
La montée par le lapiaz de Genièvre est sympa et je profite pour prendre mon temps afin de me réchauffer avec les rayons du soleil.
En arrivant vers 2250 m, il faut commencer à zigzaguer pour éviter les névés, puis vers 2300-2400 m les névés deviennent trop importants. Comme il n'y a aucune chance de trouver le trou recherché et n'ayant pas envie de tester un pont de neige trop fragile, je rebrousse donc chemin.
Petites marmites creusées dans le calcaire d'un lit de rivière
Participants : Evelyne, Marc et Jack
La météo étant très maussade, alors rien de tel qu'une petite ballade sur le Mont-Chemin (VS) pour aller quand même sous terre afin de visiter (ou plutôt re-visiter) deux mines bien connues.
On commence donc par la Mine Hubacher, bien confortable et un peu monotone, mais on prend le temps de faire des photos et de chercher les plus belles veines de fluorite ou autres des fois que ...
Après quoi, on va à la Mine no.2 des Larzes mais la visite sera très courte car on décide de s'arrêter au niveau d'un passage bas avec éboulement qui ne nous inspires pas confiance ..
La journée se terminera avec l'observation de marmottes qui, vu la météo devenue pluvieuse, n'étaient vraiment pas dérangées ce jour là !