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Participants : Evelyne et Jack
Retour sur cette belle zone située entre Derborence et le Sanetsch afin de poursuivre nos prospections avec ce jour là pas mal de nuage, mais de la chaleur et pas de pluie.
La zone est sauvage et on n'y croise personne
Sur les lapiaz au pied de Montorbon
Lapiaz d'Avantage avec au fond les sommets du Sublage et du Sérac
Rien trouvé d'intéressant sur les lapiaz, mais une perte plus bas serait à désobstruer car il y a un léger courant d'air.
Après un 2017 pluvieux, voici que la météo nous gâte pour cette 2ème édition de la Fête de la Cabane, à laquelle plus d’une vingtaine de personnes ont participé.
Rendez-vous à partir de 11h à la cabane pour les invités, mais les organisateurs ont été à pied d’œuvre dès 9h du matin.
Donc au programme : grand soleil, apéro, grillades, bonne humeur et même un exercice de secours sur corde, organisé l'après-midi par Luca et Anna sur les falaises pas loin de la cabane.
Un grand merci à tous ceux qui ont donné un coup de main pour cette organisation !
Et bien sûr une pensé pour Mario, grâce à qui cette manifestation a commencé et continue à avoir lieu année après année, afin de créer encore plus de liens entre les membres de notre club.
Texte : Nicoleta - Photos : Nicoleta et Jack
Participants : Laure, Vivien et Jack
Nouvelle sortie dans le cadre du Groupe Patrimoine Vaud (GPV), cette fois en soirée et pour aller dépolluer un petit gouffre dans le Jura vaudois.
Rentrée de nuit, mais avec le plaisir de savoir que cette cavité est à nouveau propre.
Participants : Eric, Pierre, Alicia, Jean-Noël, Corinne et Nicoleta
Notre équipe de spéléos franco-suisses n’est pas à sa première sortie, donc nous nous connaissons et connaissons nos habitudes. Cette fois-ci, le RV est donné pour 9h sur le parking de la Grotte touristique.
Après les retrouvailles fort sympathiques, nous commençons à se préparer. La première question importante c’est “Néoprène ou pas néoprène”, à laquelle nous nous accordons tous : “pas néoprène”, sauf pour celui qui équipe la vire, notamment Eric.
Après s’être annoncé à l’entrée de la grotte touristique, nous entrons. Nous visitons rapidement la partie touristique, car nous ne l’avons pas tous visitée encore. Nous avons ensuite vite trouvé l’endroit par où il faut quitter la partie touristique et pénétrer dans celle non-touristique.
Le niveau de l’eau est très bas, ce qui fait qu’Eric qui équipe la vire transpire à grosse goutte, car aujourd’hui, la néoprène ne sert à rien. Néanmoins, la vire est vite équipée et nous progressons vers la Salle des Aiguilles, après la montée pour quitter la rivière.
Equipement de la vire
Après la visite de la belle salle avec les fistuleuses et le picnic, nous progressons dans la magnifique Galerie des Gours et vers le Pot de Moutarde. Une fois passée la Galerie des Gours, nous avons du mal à comprendre si nous avion atteint le Pot de Moutarde ou bien si nous sommes encore avant, car nous ne retrouvons pas des éléments de la topo, comme les P5 et P7 après la Salle du Miroir. Par contre, nous rencontrons un beau lac vert émeraude, qui n’est pas sur la topo … à moins d’être déjà dans la Salle Issante ??? Mystère…
Salle des Aiguilles
Galerie des Gours
Lac d'un vert émeraude
En tout cas, ce point a marqué le début de notre retour, qui s’est fait dans la même bonne humeur que l’aller.
Une fois dehors, nous nous changeons, en étalant sur le parking nos affaires : c’est là qu’on voit qu’en spéléo on utilise pas mal de matos quand même.
Comme toute expé qui se respecte, nous clôturons la journée autour de quelques bières fraîches dans un bar à Vallorbe.
Texte et photos : Nicoleta
Participants : Evelyne et Jack
Visite d'une grande doline très polluée vers le Boutavent (Jura vaudois) avec dans la foulée l'établissement d'un rapport d'assainissement pour le GPV (Goupe Patrimoine Vaud).
Aperçu de la pollution
Et un autre aperçu
Affaire à suivre ...
Participants : Maureen, Ludo et Patrick
Sortie familiale dans ce joli canyon près de Saint-Caude (département du Jura), donc proche de chez nous. Le débit était faible et comme la température de l’air était caniculaire, l’eau était agréable. Seul danger de la journée, gros orages prévu en fin d’après-midi alors on est sortis avant et arrivés à la voiture on a eu droit à la pluie.
C'est des photos avec un smartphone de la première cascade de 25m, car après plus possible de faire des photos.
Participants : Hervé, Marc et Jack
Nouvelle séance de désobstruction. Les conditions sont cette fois moins humides, mais le courant d'air est toujours bien présent.
Le tas de gravats commnene à prendre de l'ampleur
Entre deux séances au fond ...
Au premier plan , le bidon modifié pour tirer les gravats
A la prochaine séance, il va falloir s'occuper des parois au terminus car elles deviennent trop délitées.
Lorsque j’ai entendu que le Balkan Cavers Camp de cette année aurait lieu en Roumanie entre le 2 et le 8 juillet, en tant que roumaine, il a été clair pour moi que j’allais y aller.
Le Balkan Cavers Camp c’est un camp spéléo organisé chaque année dans un des pays de la région des Balkans.
Me voilà donc débarquée dans Tara Hategului (région Hateg, au centre de la Roumanie). C’est une magnifique région, encore très authentique, comme beaucoup d’endroits en Roumanie, pas encore touchée par le tourisme de masse. C’est une région pleine d’histoire, le berceau des ancêtres des roumains d’aujourd’hui (l’antique Dacie se trouvait dans cette région).
Dès le début j’ai été impressionnée par l’extraordinaire organisation de l’évènement par l’équipe d’organisation : prise en charge des participants, activités proposées (spéléo, canyoning, randonnée), l’inscription aux excursions, le transport depuis le site du camp jusqu’aux endroits des activités, conférences scientifiques le soir, soirées à thème pour les participants.
Cérémonie d'ouverture
Ambiance
Concours photo « Speo-Arta »
Transport à la roumaine (nous n’allions pas loin)
Une fanfare qui jouait de la musique populaire roumaine a mis de l’ambiance dans le camps.
Je suis restée 3 jours complets sur place, pendant lesquelles j’ai eu la chance de visiter les grottes et canyons suivants :
Cheile Banitei - petit canyon très beau, que j’ai découvert grâce au Geocaching
Pestera Bolii est fameuse pour cette image - on peut y voir un cœur
Pestera Cioclovina Uscata - petite grotte qui a été utilisée pendant la 2ème guerre mondiale pour l’extraction du phosphates des dépôts de guano-phosphates présents en abondance dans la grotte.
Entrée Pestera Cioclovina Uscata
Petite Porte Pestera Cioclovina Uscata
Pestera Cioclovina cu apa - un réseau de deux grottes qui communiquent (réseau Ponorici-Cioclovina), aquatique, avec une magnifique rivière souterraine et de belles formations.
Entrée
Galeries dans Pestera Cioclovina cu apa
Fundatura Hobeni - une grotte qui a quelque puits et qui finit dans une salle argileuse. Trois heures de marche d’approche dans un paysage idyllique, typique de la Roumanie
Entrée Fundatura Hobeni
Pestera Fundatura Hobeni
Pestera Sura Mare - un très grand réseau, que nous avons parcouru sur presque 3.5 km le long d’une magnifique rivière souterraine qui coule pratiquement le long d’une faille profonde de plus de 80 m par endroit, avec une largeur de 3-5 m environ. Il y a de belles concrétions tout au long du cours de la rivière. Notre objectif de la journée a été une immense salle de plus de cent mètres de longueur-largeur-hauteur avec de grands gours en calcite blanche.
Marche d’approche pour Pestera Sura Mare
Porche d’entrée Pestera Sura Mare
Les énormes gours
Pestera Sura Mare
Texte et photos : Nicoleta
Participants : Evelyne, Hervé, Marc et Jack
Poursuite des désobstructions dans cette baume dont l'entrée, en hiver, est dégagée par le courant d'air. Le tripode fabriqué par Hervé facilite la remontée des bidons, mais il faut encore de l'huile de coude pour les tirer !
Le départ du puits
Et encore un bidon
En repartant, le tas de déblais commence a être sympa
En fin de journée, un petit trou permet de voir un vide (suite ?), mais il faut encore agrandir le passage pour pouvoir passer.
Participants : Evelyne et Jack
Prospection sur la partie basse du lapiaz des Cases d'Aveneyre dans une chaleur étouffante. Cette année, à cause de la chaleur et des nombreux orages, la densité de la végétation est impressionnante ce qui ne facilite pas la progression et rend une partie du lapiaz quasi inaccessible. Deux fractures semblent intéressantes et sont à revoir ultérieurement.
Sur un replat dégagé du lapiaz (avec vue sur les grottes aux ours) avant de s'enfoncer dans la végétation
A noter que le courant d'air glacial à l'entrée inférieure du Gouffre Paradis était décoiffant !