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Participants : Nicoleta, Thierry, Evelyne, Sabine, Ana, Françoise, Marc, Eric, Felix et Jack
Traditionnelle sortie de l'Ascension organisée par Nicoleta et cette année nous avons séjourné dans un hôtel à St-Victor-de-Malcap (petit village près de Méjannes-le-Clap) dans le département du Gard.
Le village est typique avec ses ruelles étroites, son église et son château
Quand à l'hôtel, c’est luxueux (pour de spéléos) et moderne
Les panneaux de circulation du village sont eux un peu moins moderne !
Au menu : ballades, descente de la Cèze en canoë, nombreux apéritifs ainsi que des agapes bien arrosées. Malheureusement, on a pas beaucoup profité des terrasses car la météo a été capricieuse.
Quant aux cavités visitées, ce sont :
Goule de Sauvas
Deux visites dans la zone d'entrée, notamment une afin d'observer la crue lors d’un gros orage, mais la mise en charge n'a pas été spectaculaire.
Grotte de Valaurie
Lors d'une ballade à but touristique et "géocache", visite en tenue très légère de cette cavité qui se trouve près de la Grotte de Trabuc.
Aven Armedia
Après un petit couloir, un puits d’une quarantaine de mètres
Et ensuite, malgré l'argile rouge omniprésente, des parties magnifiquement concrétionnées où il y a heureusement un balisage
C'est superbe ...
Event de Peyrejal
En profitant du seul jour entièrement ensoleillé, donc sans risque de crue, visite pour aller voir la fameuse conduite forcée elliptique que l'on voit sur quasi toutes les photos du web.
Grotte de l'Orage
N'ayant que des informations très succinctes, il nous a fallu pas mal de temps pour trouver l'entrée ainsi que pour se repérer dans le dédale des galeries. Ce n'est qu'en ressortant que l'on a trouvé une deuxième entrée et que l'on a compris qu'on peut faire une traversée !
Aven des Pèbres
Joli gouffre concrétionné, mais perdu pas mal de temps pour équiper le puits d'entrée car on avait une ancienne fiche d'équipement trop minimaliste. Heureusement que le matériel emporté était lui assez conséquent …
Aven de Noël
Deux personnes ont pu se joindre à 4 personnes du SC-Cheseaux qui organisait la visite. Merci à eux, c'était cool. Après la partie verticale d'entrée (P30-P90), le cheminement dans les longues galeries magnifiquement concrétionnées a été un émerveillement.
La fameuse chauves-souris calcifiée
Trou Arva - Grotte Claire
Une petite traversée sympathique dans cette cavité équipée en fixe avec des broches, des main-courantes et deux tyroliennes sur câble (bon il faut quand même une corde pour un rappel).
Caverne du Pont d'Arc
Visite touristique de cette réplique de la Grotte Chauvet lors d'une journée très pluvieuse, mais c'était surtout un bain de foule !!!!
Ce fut un séjour fort agréable avec une super ambiance. A renouveler le plus vite possible évidemment ...
Photos : Ana, Nicoleta et Jack
Participants : PhilippeC, Felix, Patrick et Marc + Evelyne et Jack en surface
Retour à la Perte de la Sagnette après plus d'une année d'absence afin d'installer un système pour dévier l'eau qui s'écoule dans la fracture terminale. Finalement ce système se révèle inefficace car le débit est trop important, mais une autre solution est trouvée. Après quoi, la topographie de la partie terminale sera levée.
La grillade au soleil qui suivra sera vraiment appréciée après plusieurs heures sous une douche glacée.
Participants : Evelyne, Marc et Jack
Ballade dans les pentes raides de la commune de Dorénaz (VS) pour voir si il y a des trous dans un affleurement de marbre se trouvant au milieu du massif cristallin. On a trouvé juste une fracture tectonique qui est sans intérêt car très courte.
Participants : Evelyne et Jack
Prospection dans la région de la Combe à Berger (communes de L'Isle et Mont-la-Ville) avec une météo pas vraiment sympa et encore de la neige malgré l'altitude assez basse (1000-1100m).
Dans une série de petites barres rocheuses, un orifice est repéré et il serait à revoir lorsqu'il y aura moins de neige. Nous profitons aussi pour aller revoir deux grottes qui avaient été découvertes en 2008.
Barre rocheuse avec deux petites grottes et deux boyaux
L'une des deux grottes avec un départ de méandre
Le méandre qui serait à désobstruer car il y a un petit ruisseau temporaire, un léger courant d'air et un élargissement qui semble se présenter peu après. Ca sera peut-être un objectif pour cette année ?
Le retour à la voiture se fera sous une nouvelle chute de neige, probablement pas la dernière de cet hiver qui n'en finit pas !
Participants : Laure, Pierre, Alicia, Corinne, Jean Noël, Eric, Nicoleta
6 spéléos matinaux déjeunent chez EricAprès les tartines, le matos et les autos.Rendez-vous à Villeneuve pour NicoletaSaillon, raide raide dans le village, la vigne, le virage, c’est par là. Les échelles nous trouvent habillésA la porte nous offrons la clef.Quelle impressionnante approche et porche accueillant !Les chauves-souris hibernent et Eric équipe. Plus bas dans les galeries, les spéléos cherchent.A force de photos, repos et checks topos,Le labyrinthe fait place pique-nique.Heureusement, la suite est ludique… Digestion express dans l’échelle de PerroquetSuivie d’un ressaut menu mais délicat:La galerie des Merveilles est bienvenue.4h dans la grotte, nous pressons le pas. Corinne en éclaireuse monte une rampe…Mais c’est la deuxième qu’il fallait prendre.Enfin, vers la salle du Volcan,C’est en fait un torrent ! Volcan magnifique et éruption de lave limpide,Demi-tour des spéléos intrépides.6h dans la grotte, pourquoi pas un retour plus rapide? La descente de rampes est un exercice de styleEn C, en O, en S? Non, c’est à l’envers là.Au labyrinthe, regroupement et casse croûte.La galerie du Torrent, de la Lunette, revoilà le puits. Presque tous dehors, la nuit est fraiche on se dépêche, de se changer20h, voilà les derniers !Retour à Villeneuve, Lausanne,Merci à tous pour une super journée !Entrée à 10h, sortie 20h: une bonne dizaine d'heures sous terres pour une belle journée de spéléo et de partage. Le Poteux de Saillon n'a pas déçu !
Photos de Nicoleta et texte de Laure
Participants : Luca, Valentin B, Valentin P, Félix
On est parti vers 9h de la gare de Bussigny. La route était plutôt bien dégagée, mais on ne peut pas en dire autant de la marche d’approche qu’on a fait en raquettes (sauf Luca qui l’a faite à ski). Au début, on a eut une bonne trace à suivre.
Mais la seconde moitié s’est faite dans la neige vierge, profonde de plus d’un mètre par endroits.
On a, au final, mis plus de deux heures pour faire les 6km jusqu’à la cabane du club de la vallée de Joux, dont l’espace avant l’entrée (couvert sur 3 cotés) nous a offert un abri bienvenu pour nous équiper et déjeuner.
On a ensuite rejoins l’entrée qui était assez grande pour ne pas être couverte par la neige. En revanche il y avait bien 1.5m de neige tout autour, donc même avec la pelle que Luca avait emmenée, on en aurait eut pour un bon moment pour réussir à trouver les amarrages de tête de puit.
D’après Luca, depuis que le puits a été re-équipé, la corde de 50m ne suffisait plus tout à fait, donc il a eut la bonne idée de prendre une corde de 20m en plus, qui nous a permis d’utiliser un gros sapin quelques mètres plus loin comme amarrage naturel, et un arbre plus petit en tête du puit pour rejoindre le fraction du P40 d’entrée, qui comportait de magnifiques concrétions … de glace !
Arrivé au fond du P40 (sur un gros tas de neige/glace), on avance de quelques mètres pour rejoindre la main courante qui mène au puit suivant. Au bout de deux mètres, la main courante disparaît soudain … dans une coulée de glace qui ne laisse que de justesse la place pour passer en rampant sur le coté (ce qui n’est pas super pratique quand on est longé en même temps).
Luca passe le premier, pour nous annoncer juste après qu’on a un problème : la corde du P4 (qui comme tout les suivants est sensé être équipé en fixe) auquel menait la main courante est totalement couverte de glace (quelque millimètres tout du long, et un énorme paquet sur le haut). Il tente d’abord de casser la glace, avant de nous demander de lui apporter la corde de secours qu’il avait emmené dans son kit (bien prévoyant ce Luca …) pour qu’il équipe le puit.
Suit un petit passage assez pentu et bas avec une corde qui n’est pas gelée, puis un autre puit avec de la glace seulement sur le dernier mètre, donc Luca descend et je le suis pour rejoindre une sorte de petite salle.
Pour rejoindre le puit suivant, il faut emprunter une petite « tranchée » en pente douce. La main courante commence à environ un mètre du début de la tranchée ce qui en temps normal ne pose pas de problème vue que la pente est très douce et le puit à 3/4 mètres. Sauf que le fond de la « tranchée » est couvert d’une coulée de glace bien glissante, qui aurait été un toboggan bien sympathique s’il ne donnait pas sur le haut d’un puit d’une dizaine de mètres. Luca s’y engage quand même pour revenir quelques instant d’après en disant qu’il y a un problème : la corde de ce puit est elle aussi prise dans la glace !
Finalement, la corde de 50m du P40 d’entré se révèle assez longue pour remplacer la corde de secours (vue que jusqu’au fractio on utilisait la corde de 20m, il restait pas mal de rab), donc les deux Valentins déséquipent la corde de secours et la remplacent par ce qui reste de la corde de 50m.
Pendant que Luca équipe ce second puit avec corde gelée, les 2 Valentins me rejoignent dans la petite salle. N’étant pas très rassurés par le toboggan, on commence à réfléchir à un moyen de sécuriser un peu l’accès à la main courante. Au final on accroche les deux sangles qu’il nous reste ensemble par une tête d’alouette, et on attache une extrémité à la corde précédente (celle gelée sur le dernier mètre) à l’aide d’un mousqueton et d’un cabestan. On peut donc se longer sur cette chaîne pour atteindre en sécurité la main courante.
On descend alors deux petits puits sur la corde de secours pour arriver vers -100, en haut du P38. Vue le temps qu’on a mis pour arriver jusque là, et le fait qu’on voulait avoir encore de la lumière pour la partie la plus sauvage du retour, on décide que je commence à remonter tranquillement avec Luca (n’ayant jamais dépassé la 50ène ne mètres de puits avant, je préférais ne pas aller trop profond, ne connaissant pas mes limites) pendant que les deux Valentins descendaient encore le P38 puis remontent aussi.
Pour descendre le P38, il faut d’abord emprunter une main courant plein vide pour arriver du coté opposé du puit, ce qui doit déjà être fatigant en temps normal, mais qui a bien du prendre 10 minutes à Valentin P. qui a du casser toutes les stalactites de glaces accrochées à la main courante.
Au final, je remonte sans trop de difficulté tous les puits (j’aurais donc pu aller plus profond, mais dans le doute j’avais préféré m’abstenir), suivit assez rapidement de Luca. Les deux Valentins nous rejoignent peu après. Le fait de se séparer aura au moins permis de ne pas devoir attendre trop pour le P40.
Ensuite retour à la cabane pour récupérer nos affaires (qui avaient eut le temps de geler elles aussi), puis de nouveau deux heures de marche en raquettes/ski dans la neige pour rejoindre la voiture, finissant à la frontale.
En conclusion, je dirais que, du moins en hiver, la Glacière Druchaux mérite encore bien son nom avec de magnifiques concrétions de glace jusqu’à -100 voir au-delà, et un courant d’air … glacial. Dans ces conditions, je dirais qu’elle vaut bien l’effort pour l’atteindre. Par contre, pour la prochaine fois, on le saura : en hivers, il faut prévoir des cordes et des mousquetons pour équiper les puits nous même.
Participants : Pierre E. + Anouk A. (CCO-VD) et une quinzaine de personnes du club
Soirée de présentation sur les chauves-souris animée par deux personnes du Centre de Coordination Ouest pour l'étude et la protection des chauves-souris (CCO).
Très riche en informations, cette soirée a permis d'en savoir un peu plus sur le mode de vie de ces sympathiques bestioles ainsi que de découvrir le travail du CCO.
Nous avons notamment appris comment il a été possible de mettre en évidence des activités de swarming (rassemblement automnal) dans plusieurs gouffres du Jura vaudois.
En outre, nous avons été informé sur l'alerte au WNS (ou syndrome du nez blanc) qui peut décimer des colonies entières.
Le thème de la protection des sites a été aussi abordé (comportement, périodes de visites, etc.) et dans le futur, il se pourrait que des mesures de protection soient mises en place pour les grottes et les mines de grande importance pour les chauves-souris.
Merci à Eric qui a lancé l'organisation de cette soirée et bien sûr un grand merci aux deux personnes du CCO.
Participants : Hervé, Patrick, Marc, Jack + Michel et Corinne G.
Jeudi 4 janvier 2018 à 15h00 : Depuis 48 h de fortes pluies sur les pentes enneigées du Jura provoquent une mise en charge rapide des sources et en consultant le site internet pour les stations de mesure sur la rivière de l'Orbe on se rend compte que les débits vont probablement atteindre des records.
Vers 20h00, nous partons alors à quatre pour les Grottes aux Fées de Vallorbe avec l'espoir de pouvoir observer le porche de la Grande Grotte en crue, ce qui est très rare (les dernières fois datent de 1990 et 1955).
A 20h30, nous sommes sur place sous une pluie battante et on fait des photos et des vidéos de la Petite Grotte qui crache un magnifique torrent.
A la station de mesure du Chalet sur la rivière de l'Orbe (plusieurs km en aval), le débit est de 117 m3/s mais lors des crues de 1990 et 1955, le débit était d'environ 130-140 m3/s … On attend donc encore en espérant que le porche de la Grande Grotte se mette à couler, mais peine perdue car le débit de l'Orbe se stabilise.
Pas de crue donc dans le porche de la Grande Grotte et les premières salles restent malheureusement sèchent.
Par contre la majeure partie du réseau s'ennoie et le cavelink installé dans la Rivière Lanceleau affiche une crue de presque 30 m de hauteur !
Dommage que les cavelink de la Galerie Glaisine et de la Galerie Arthur soient HS car cela aurait été intéressant de comparer les heures de la vague de crue entre ces trois stations.
Lorsque nous rejoignons le véhicule, nous croisons Michel qui vient lui aussi observer la crue à la Petite Grotte; Corinne G. (SCPF) le rejoint peu après. Après une visite à la Source de l'Orbe, nous nous retrouvons ensuite tous ensemble dans un pub de Vallorbe, mais comme tout le monde est trempé jusqu'aux os nous laisseront une belle gouille autour de la table en quittant les lieux !!!
Avant de rentrer à la maison, nous passons encore vers minuit à la Source de la Venoge qui elle aussi est en belle crue.
Source de la Venoge le lendemain avec le torrent issu du Puits de la Venoge
Le lendemain, les niveaux ont baissés petit à petit ...
Participants : Vivien, Félix, Valentin, Hugo, Philippe et Nicoleta
Cela faisait un moment que nous parlions des porches pas encore explorés, vers les Roches d’Air, dans les Gorges de l’Orbe (commune de Lignerolle). Et le dimanche 17 décembre a été le grand jour pour en explorer un.
Pour y aller, nous nous sommes donnés rendez-vous à Orbe, au Puisoir et ensuite nous avons fait deux équipes : une formée de Philippe et Nicoleta, qui allaient se mettre sur la rive d’en face du porche pour guider l’équipe de Vivien, Valentin, Félix et Hugo, qui allaient descendre dans le porche. Nous avions tous des idées de grandeur, en fabulant sur des puits d’au moins quelques dizaines de mètres.
Une fois les radios attribuées aux 2 équipes et le test fait rigoureusement, nous sommes partis, Philippe et moi aux Clées, et ensuite nous avons pris le sentier balisé en rive droite des gorges, que nous avons suivi sur 1,5 km. Selon les indications précises de Jacques et Evelyne, le porche se trouve 100 m après le quatrième et dernier petit tunnel du sentier et il s'ouvre à 10-15 m du sommet de la falaise en face du sentier, sur l'autre rive de la rivière.
Le porche de l'abri dans la falaise, pas si facile à voir, malgré l’absence de feuille dans les arbres.
Toujours selon les indications de Jacques, c'est possible de descendre au bord de la rivière aux alentours (très raide), mais ensuite difficile de la traverser et pas possible de remonter de l'autre côté à proximité car partout des falaises. Donc, pour l’équipe qui allait visiter le porche, la seule modalité d’accès est depuis la route de Ballaigues et ensuite trouver un chemin pour descendre jusqu'aux gorges, au sommet de la falaise où se trouve la cavité (environ 200 m de dénivellation).
Avec Philippe, nous sommes vite arrivés à l’endroit voulu. Comme l’attente allait être longue, nous avons fait un beau feu avec le bois que j’ai pris le soin d’apporter. Nous avons sorti jumelles et radios et nous avons attendu… relativement au chaud, grâce au feu.
Philippe guidant l'équipe qui se trouve sur l'autre rive
Comme pour l’autre équipe le chemin d’accès n’est pas facile (traverser la cambrousse, équiper des ressauts, descendre en rappel des parois, parfois allant jusqu’à une bonne douzaine de mètres), notre attente a été assez longue. Mais cela n’a fait qu’agrandir notre joie lorsque nous avons attendu les voix de nos amis de l’autre côté des gorges. Avec Philippe, nous les avons bien guidés et, une fois la corde installée, Félix est descendu pile-poil au niveau de la grotte (en prenant une radio avec lui). Malgré l’absence de feuille dans les arbres, ce n’était pas si facile que ça de bien voir nos camarades de l’autre côté. Les jumelles ont bien aidé dans ce cas.
Et là, grand suspense… Y a-t-il une suite ou pas ...
Quelques minutes après être descendu, Félix nous a annoncé la mauvaise nouvelle, la grotte est juste un abri sous roche, de 4m sur 4m sur 1.5m et elle ne continue pas. Aux recommandations de Vivien, Félix, rejoint désormais par Valentin et Hugo, ont essayé de faire une mini-désob à l’endroit le plus prometteur, mais, après une bonne vingtaine de minutes, la voix de Félix a retenti pour nous informer qu’il n’y a vraiment pas de suite évidente.
Un peu déçus, nous avons plié bagages, Philippe et moi, en prenant le soin de bien étouffer le feu avec de la neige, et l’équipe de Vivien en déséquipant et remontant vers Ballaigues. Nous les avons rejoints au point où ils ont laissé la voiture à Ballaigues, afin de partager des impressions par vive voix et pour se partager le matos à nettoyer.
Retour de l'équipe qui a exploré l'abri.
Notre équipe est l’attraction du jour de ce troupeau de vaches de Ballaigues.
Hugo, étudiant à l'ECAL et qui a fait un reportage vidéo et des photos de cette sortie, va nous envoyer les images que nous allons bientôt partager avec les membres du club.
Nicoleta
Participants : Nicoleta, Thierry, Eric, Philippe C., Sabine, Felix, Patrick et Marc
Pour se préparer à l'arrivée de l'hiver, traditionnelle soirée avec une fondue souterraine.